Premier travail

Cette histoire s’est passée il y a quelques années, alors que j’étais cuisinier et que je venais de trouver du travail dans le sud de la France. Je venais d’avoir 18 ans, et après avoir passé la journée dans le train, j’arrivais en fin d’après midi à la gare d’Hyères. Le patron était venu me chercher car l’hôtel-restaurant se trouvait à une dizaine de kilomètres au bord de la mer, mais au milieu de nul part. Après la présentation rapide de la quinzaine d’employé, il m’emmena à ma chambre ou je logeais avec deux autres personnes.

Une chambre toute simple avec trois lits cote à cote, et la salle de bains et douches communes au bout du couloir. J’installais rapidement mes affaires dans la petite armoire, et je décidais d’aller me promener au bord de la mer avant la tombée de la nuit, je devais commencer le lendemain matin. J’avais eu le temps de dire bonjour rapidement à mes deux colocataires, un cuisinier de 19 ans, et un serveur de 18 ans comme moi. Après une balade d’une demi-heure, et commençant à sentir la fatigue du voyage, je rentrais à la chambre pour me coucher, j’étais usé. Je mis suis mis au lit en gardant un slip, alors qu’habituellement je dormais nu, mais je ne voulais pas choquer mes colocs, et je m’assoupi tranquillement.

Il devait etre a peu pres minuit, et le bruit de la clef dans la serrure me réveilla immédiatement, et je vis entré Francis le jeune serveur que j’avais croisé rapidement il y a quelques heures. Voyant qu’il m’avait réveillé, il s’excusa et me dit que l’autre gars était parti prendre sa douche et qu’il n’allait pas tarder à arriver aussi. Nous nous mimes a discuter du restaurant, de l’équipe, des patrons et autres, et Francis se déshabilla tranquillement, et quand il fut en slip, tout en continuant à discuter, il vint s’assoir sur le bord de mon lit. Je m’étais assis dans le lit avec le drap jusqu’à la taille. Je sentais son regard s’appuyer sur une tache de naissance que j’avais sur l’épaule et tout naturellement posa ses doigts dessus, je sentais comme un frisson et il le senti très nettement.

Il continua à me caresser l’épaule, puis descendit doucement sur mes tetons que je sentais pointer, il s’en amusa et les pinça légèrement, ce qui me fit une décharge dans le bas ventre et je sentais une érection pointer. Il faut dire que je n’avais encore jamais eu de rapport que ce soit avec un garçon ou une fille. Je relevais les jambes pour dissimuler la bosse que je voyais poindre sous le léger drap. Il s’amusait toujours avec mes tétons puis descendit la main sur le torse, se rapprocha du nombril, puis jusque sous le drap en s’arrêtant un instant sur l’élastique de mon slip, il devait vérifier si j’étais nu je pense.


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Sa main passa la barrière et passa sur mon sexe en pleine érection et le caressa à travers le tissus. Je me demandais s’il n’allait pas jaillir d’un seul coup. Il me regardait fixement dans les yeux en continuant son lent va et vient. Je sentais la chaleur de sa main sur mon sexe uniquement protégé par ce bout de tissus. A ce moment j’ai entendu la porte s’ouvrir avec effroi, c’était Laurent le second coloc, il revenait de la douche, et avait juste une serviette autours de la taille. Je me demandais ce qu’il allait penser, et je vis son regard surpris de voir son copain la main sous les draps à l’endroit de mon sexe.

« Hé ben, tu perds pas de temps » lança t-il à son pote.

Et il fit le tour du lit, alors que je sentais la main de Francis appuyer plus fortement sur mon sexe comme pour en légitimer la propriété. Laurent s’approcha du lit et fit voler le drap en arrière pour mieux voir la main de son ami qui avait repris son va et vient. Il s’assit également sur le lit et regardait fixement la main baladeuse comme hypnotisé. Au bout de quelques secondes, il mit sa main sur mon genou, et remonta lentement le long de la cuisse jusqu'à trouver les couilles gorgées de sperme, il les caressa et s’insinua entre les cuisses pour jouer avec ma rondelle à travers le tissus. Je voyais sa serviette se soulever lentement, j’imaginais qu’il n’avait rien dessous. Alors que je n’avais pas encore touché Francis, je mis ma main sur la cuisse de Laurent et remontait doucement en le caressant. En quelques secondes on voyait nettement la bosse formée par sa queue sous la serviette, je continuais jusqu’aux couilles et les massait, puis remontait sur sa tige que je pris à pleine main et entamait un va et vient. Il appréciait, et défit sa serviette, et je vis pour la première fois de ma vie un autre sexe en érection que le mien. Il me paraissait plus gros que le mien mais aussi long. Je jouais avec le gland, la tige et les couilles alternativement. Francis me regardait faire tout en me massant la queue. Je me tournais vers lui et remonta ma main jusqu'à son slip, je lui caressais également le sexe a travers le tissus comme il me le faisait. Francis tira sur l’élastique de mon slip et sorti mon sexe qui ne demandait que ca. Laurent en profita pour tirer sur le slip et le retira complètement.

Je levais mes fesses légèrement et je vis disparaitre le slip au pied du lit. J’étais nu pour la première fois devant quelqu’un d’autre, et je me doutais bien que cela n’allait pas en rester là. Francis continua de me branler, et je le vis descendre la tête vers ma queue qui ne demandait que ca. Il commença par donner des petits coups de langue sur le gland ce qui me faisait un effet terrible et nouveau pour moi, puis il ouvrit la bouche et la goba toute entière, descendant jusqu’aux couilles et il commenca à remonter et à faire coulisser mon dard entre ses lèvres chaude. Je sentais sa langue entourer mon sexe et jouer avec à l’intérieur de sa bouche. Pendant ce temps la, je n’avais pas lâché la queue de Laurent et le branlait de plus en plus furieusement.

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Trouble et motifs

Il avait remis sa main entre mes cuisses et était reparti me titiller la rondelle, je sentais son doigt au bord du puits qui commençait à s’introduire petit a petit. Il rentrait un peu puis ressortait, puis se renfonçait de plus en plus. Avec la fellation de Francis, puis le doigt de Laurent, je ne savais plus ou j’étais. J’haletais de plaisir. Je ne savais plus ou en était le doigt de Laurent quand je me suis rendu compte que son majeur était tout entier en moi, il me branlait l’anus de plus en plus vite, et ce sentiment de brulure et de plaisir se mélangeait. Il retira son doigt et se leva à son armoire et revint avec un petit tube. Il l’ouvrit et se versa l’équivalent d’une noisette sur les doigts, puis il revint à la charge de mon trou, et le lubrifia largement. Il pouvait maintenant rentrer et sortir comme il le voulait, je senti un second doigt en moi puis un troisième qui me fouillait le fondement sans scrupule.

Francis abandonna ma queue pour enlever son slip et libérer son sexe largement plus gros et plus long que le mien. Il se planta devant moi, a la hauteur de mon visage en se masturbant, je mis ma main sur son sexe et le remplaça dans sa caresse, je voyais bien qu’il se rapprochait de plus en plus jusqu'à ce que son membre se retrouve près de mon visage. Je n’avais jamais fait ca, mais je me dis que vu ou l’on en était, je commençais à sortir ma langue et à lécher ce sexe qui me paraissait énorme et j’entrouvris les lèvres pour le prendre en bouche. Francis donna un léger coup de rein et je me retrouvais avec son sexe au fond de la bouche, il faisait coulisser son sexe dans ma bouche jusqu’au fond puis ressortais pour mieux rerentrer. Les doigts de Laurent étaient toujours en moi, et il s’était mis à me sucer à son tour. Je continuais de sucer Francis quand Laurent quitta ma queue et mon trou pour se lever et alla chercher une boite de préservatif dans son armoire, il en sorti un, et je le vis du coin de l’œil se le dérouler sur sa bite. Il prenait son temps, et admirait le spectacle de mon trou du cul car j’avais toujours les jambes relevées.

Il s’approcha entre mes cuisses puis les releva encore afin de m’ouvrir complètement, je commençais à sentir son gland sur ma rondelle, et il appuyait doucement puis de plus en plus fermement, je sentais qu’il rentrait petit a petit, mon cul lubrifié n’offrait aucune résistance, je sentais que le gland était passé, et il me pénétra sans à-coup jusqu'à ce je sente ses couilles sur mes fesses. Je fus surpris de la facilité avec laquelle il s’était introduit au fond. Je fermais les yeux de plaisir et j’en oubliais la queue dans ma bouche, Francis me le rappela en faisant un mouvement de va et viens, Laurent faisait de même dans mon cul. J’étais pris des deux cotés et j’aimais ca. Ils continuèrent leurs va et vient quelques instants puis Francis pris un préservatif qu’il glissa sur sa queue. Laurent sorti de moi, et me fit comprendre de me mettre a quatre pattes, il retira sa capote et me glissa sa queue dans la bouche. Francis me pris par les hanches et me pénétra comme son copain, jusqu’au fond.

Au bout de quelques minutes, je sentais la queue de Laurent se raidir, et au lieu de m’écarter, je la pris bien au fond de la bouche pour gouter ce sperme que je ne connaissais pas, il m’inonda la bouche et j’eu du mal a tout garder, quatre ou cinq long jets de ce délicieux nectar. Il sorti son membre, et je pu avaler comme une petite pute que j’étais devenu. Je lui nettoyais le sexe avec ma langue, ce qui le faisait gronder de plaisir. Francis ne pu se contenir longtemps, il sorti de moi et enleva le préservatif, il se branlait derrière moi et senti très vite les jets de sperme se déverser sur mon dos qu’il caressa pour étaler le sperme. J’étais vidé, mais pas encore entièrement, Francis, toujours derrière moi me redressa et me branla comme si il s’agissait de sa queue, je sentais qu’il était temps et je ne pu résister a sa caresse, je giclais sur les cuisses de Laurent qui était devant moi. Il me caressait tous les deux maintenant.

Francis me pencha doucement la tête jusqu’aux cuisses de Laurent maculées de ma semence, et je compris ce qu’il attendait. Je léchais mon propre sperme jusqu'à la dernière goute. Nous restions quelques minutes à nous caresser les uns et les autres. Puis je décidais d’aller prendre une douche, ils m’accompagnèrent, tous les trois nus dans le couloir ou pouvait surgir n’importe quel autre employé. J’apprendrais plus tard que cela ne posait aucun problème car tous étaient gays ou bi. Nous nous douchions rapidement tous les trois dans la plus grande des douches ou chacun lavait ou caressait l’autre. En sortant de la douche, on entendait des râles de plaisir de la douche voisine. Apparemment, je n’étais pas le seul à avoir passé une bonne soirée. Je me couchais en pensant à mon dépucelage, et m’endormis vite en me disant que la saison s’annonçait chaude…. A suivre….

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